Le Paris Saint-Germain poursuit sa lancée impressionnante en Ligue 1, avec une nouvelle victoire (3-1) face à Rennes, juste avant son match décisif contre Arsenal en Ligue des Champions. Un succès qui, une fois encore, met en lumière l'apport décisif de Bradley Barcola, véritable moteur de l’attaque parisienne.
Un début de match à sens unique
Dès les premières minutes, le PSG a imposé un rythme intense à des Rennais vite submergés. Très dominateurs, les Parisiens se sont rapidement procuré des occasions franches, notamment par l'intermédiaire d'Ousmane Dembélé. Malgré sa vélocité, ce dernier a montré des signes d'inefficacité dans le dernier geste. "Trop puissant dans la percussion", Dembélé a manqué deux opportunités en or, dont une qui aurait pu profiter à Hakimi, laissé seul dans la surface (6e, 18e).
Mais la délivrance est venue d’un autre joueur clé, Bradley Barcola. Bien servi par Dembélé, le jeune international français a magnifiquement enroulé une frappe imparable, offrant l'avantage au PSG à la 30e minute. Cette ouverture du score reflétait la domination parisienne, même si le manque de réalisme aurait pu coûter cher.
La maîtrise parisienne confirmée
De retour des vestiaires, les hommes de Luis Enrique ont poursuivi leur domination. Loin de relâcher la pression, ils ont cherché à doubler la mise, ce qu'ils ont finalement réussi grâce à Kang-In Lee. Ce dernier a profité d'une frappe repoussée de Barcola pour marquer de la tête à la 58e minute, portant le score à 2-0. Une action qui souligne encore une fois l'implication totale de Barcola dans le jeu parisien, aussi bien dans la création que dans la finition.
Barcola, l'homme clé du match
Si le PSG a assuré sa victoire avec ce but de Lee, c'est bien Bradley Barcola qui a marqué les esprits en inscrivant un doublé. À la 68e minute, il a conclu une superbe action collective initiée par Achraf Hakimi et un centre millimétré de Dembélé. Ce troisième but a scellé le sort du match, même si Rennes a réduit l'écart sur penalty (Kalimuendo, 75e). Malgré une baisse d'intensité en fin de rencontre, Paris a conservé une avance confortable et a évité d'autres frayeurs grâce à un Safonov solide dans les cages.